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Vous avez été nombreux à participer à notre quiz “Ma paire de lunettes est-elle vraiment responsable ?” (si ce n’est pas le cas pour vous, il n’est pas trop tard !)
Bilan ? Pour certaines marques, on s’est rendus compte que pas mal de personnes imaginaient que leurs lunettes étaient fabriquées en France, alors que la réalité est tout autre… Et on sait pertinemment qu’il ne s’agit pas de mauvaise foi mais plutôt d’un problème d’information.
Alors aujourd’hui, on a envie de vous parler de lunettes, de fabrication française et surtout, de comment les deux se combinent, ou pas…
Plongeons-nous dans le grand bain de la fabrication française.
Pour commencer, produire en France, c’est souvent synonyme de moindre impact environnemental.
Résultat : fabriquer localement c’est permettre au bilan carbone de ne pas crever le plafond et de moins polluer nos terres et nos rivières.
Ensuite, fabriquer en France, c’est s’assurer du respect de normes sociales strictes. C’est la garantie que les travailleurs bénéficient de conditions de travail décentes en imposant des normes en matière de santé, de sécurité, de durée de travail et de salaire minimum. Des protections souvent absentes dans d’autres pays.
Enfin produire en France, c’est aussi favoriser l’emploi local et la préservation des savoir-faire. Après plusieurs décennies de délocalisation, ses effets négatifs deviennent insoutenables au niveau du tissu économique et des pertes d’emploi. La délocalisation c’est des usines et des manufactures, parfois historiques, qui ferment et des licenciements en masse. Alors certes la délocalisation permet aux marques de proposer des prix plus bas mais à quel coût environnemental et social ? Et quid de la qualité ?
Bref, fabriquer en France, c’est une démarche qui a du sens dans beaucoup d’aspects… Mais le beau tableau s’arrête ici. Car la pire ennemie de la fabrication française, c’est elle-même. Ou plus précisément le “Made in France”.
Ah, le fameux “Made in France” ! Un label prestigieux qui sent bon le terroir et le patrimoine national. Mais qui est pourtant si trompeur…
Commençons par le début : qu’est-ce que cela signifie réellement ? Selon les règles de l’Union européenne, un produit peut recevoir le marquage “Made in France” si “la dernière transformation ou ouvraison substantielle, économiquement justifiée, a été effectuée sur le territoire français”.
En d’autres termes, il suffit d’importer tous les éléments d’une paire de lunettes, de les assembler ici, et voilà, le tour est joué : vous avez une paire de lunettes “Made in France”.
Comment est-ce possible ?
La réponse est simple : le “Made in France” a été conçu uniquement comme une règle de douanes. Elle sert donc seulement à déterminer le niveau de taxe à appliquer à une marchandise lors de son entrée en Europe. Le marquage n’a jamais été conçu pour protéger une quelconque appellation, un savoir-faire, ou encore une fabrication à moindre impact écologique.
Le marquage “Made in France” n’est tout bonnement pas ce que la majorité des gens pense qu’il est.
Alors comment fait-on en tant que consommateur ? Y a-t-il des solutions pour pallier les manques du Made in France ?
Eh bien, il est temps de revêtir votre cape d’investigateur et d’aiguiser votre loupe pour devenir le Sherlock Holmes du “Made in France” !
Pour décrypter le véritable “Made in France”, il est indispensable de regarder de plus près la provenance des composants clés de vos lunettes. Par “composants clés”, nous parlons :
Chez Eio, nous nous engageons à être transparents sur l’origine de chaque composant de nos lunettes et nous vous partageons cela sur notre site internet. Parce que pour nous, le “Made in France” n’est pas qu’une question de géographie, c’est avant tout une question de valeurs.
Nous arrivons à présent au cœur de notre propos : la transparence. Un mot simple, mais qui revêt une importance capitale.
Pourquoi est-ce si important ? Parce qu’en tant que consommateur, vous avez le droit de savoir ce que vous achetez, d’où ça vient, comment c’est fait. Vous avez le droit de choisir en connaissance de cause. Et nous, en tant que marque, nous avons le devoir de vous fournir ces informations, clairement et sans détour.
Fort heureusement, nous ne sommes pas les seuls à penser ainsi. De plus en plus de marques prennent conscience de l’importance de la transparence et du besoin d’une régulation adaptée. Avec le collectif En mode climat nous militons avec de nombreuses marques pour un meilleur encadrement des marques de mode.
Mais le véritable pouvoir, c’est vous qui l’avez.
C’est le pouvoir de choisir, de voter avec votre porte-monnaie. En choisissant de soutenir des marques transparentes et responsables, vous envoyez un message fort à toute l’industrie. Vous leur dites que le “Made in France” n’est pas juste un critère parmi d’autres, mais une rencontre entre une exigence justifiée et une vraie promesse.
1 Source : LowCarbonPower
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En plus de protéger des rayons UV comme le feraient des verres classiques, les verres semi-polarisés filtrent 50% des rayons réfléchis par l’environnement, ce qui limite la fatigue oculaire (ça piquera moins les yeux quand vous regarderez la mer).
En comparaison les verres polarisés filtrent presque 100% des rayons polarisés.
En ne filtrant que 50% des rayons environnants, ils permettent de percevoir des détails difficiles à distinguer avec des verres polarisés (risées sur l’eau, différences de neige sur les pistes, flaques d’eau ou d’huile sur les routes…).
Ils réduisent également les difficultés de lecture d’écrans rencontrés avec les verres polarisés traditionnels.
En choisissant cette option, vos lunettes sont un peu moins chères (et oui, le cuir c’est plus coûteux) et l’ensemble est plus léger, ce qui peut être pratique si vous aimez bouger. Et surtout, vous recevez un produit 100% végan, du coffret à la pochette.
Le cuir protège mieux vos lunettes et reste très pratique puisque l’étui tient dans la poche. Nous avons choisi un cuir de qualité, tanné végétalement en Italie qui se patine avec le temps. Et l’avantage de l’étui en cuir, c’est qu’il n’est pas en plastique.
Maintenant que vous savez tout, à vous de choisir.
Les verres semi-polarisés protègent des rayons UV mais filtrent aussi 50% des rayons réfléchis par l’environnement quand les verres polarisés en filtrent presque 100%.
Comparés à des verres classiques ou polarisés, ces verres sont les plus adaptés à un usage quotidien ou technique. En ne filtrant que 50% des rayons environnants, ils permettent de percevoir des détails difficiles à distinguer avec les verres polarisés (différences de neige sur les pistes, flaques d’eau…).
Ils réduisent également les difficultés de lecture d’écrans rencontrées avec les verres polarisés traditionnels et réduisent la fatigue oculaire générale.
